dimanche 14 août 2011

RELIGIEUSES LESBIENNES ET STATISTIQUES

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L’hystérie causée par la répression sexuelle est un héritage des monastères, illustrée par ce dicton populaire « Si pour satisfaire les dépravations d’un pays un seul démon y pourvoierait ; pour satisfaire celles d’un couvent, un millier ne suffiraient pas. »


Sexe et Érotisme au couvent
Le sexe et l'érotisme dans les monastères féminins

Plus les règles imposées dans les communautés sont sévères d’autant plus la perversion tend à impliquer en masse leurs composants. Dans une alternance de parfums de fleurs et d’exhalations de soufre, entrant dans de vraies orgies collectives que l’Église, les attribuant à l’action des démons, résout avec ruse par le moyen d’exorcismes au lieu de les confier à la psychiatrie.

Parmi l’infinité de cas reportés par les chroniques, nous citons comme premier exemple, afin de démontrer l’obscurantisme existant dans la religion chrétienne, le rapport signé par quatre évêques présents lors d'exorcismes effectués dans le couvent d’Auxonne : « Les religieuses vomissent d’épouvantables blasphèmes durant les saintes messes et les rites effectués pour les libérer de la possession diabolique. Leurs corps sont marqués par des signes d’une nature surnaturelle, faits par les démons. Les soeurs prennent durant les exorcismes des positions qui nécessiteraient une force surhumaine, comme se prosterner par terre avec la pointe du ventre alors que le corps courbé s’étend en l'air, ou bien pliées en cercle au point que la tête touche la pointe des pieds ».

Et encore : « Dans le couvent de Nazareth à Cologne, les religieuses s’allongeaient par terre et, comme si elles avaient un homme sur elle, répétaient les mouvements du coït ».

Dans le couvent de la Louvière en Belgique, « Les orgies collectives se consommaient dans une alternance d’extases, durant lesquelles les soeurs invoquaient Jésus à genoux ; et des crises neurasthéniques lors desquelles elles offraient - leurs parties postérieures découvertes - au Démon qui sollicitait de les posséder ».

Après nous être brièvement arrêtés sur ces délires psychiques dont l’Église s’est lavée de toute responsabilité pouvant surgir de son imposition à l’abstinence, les attribuant plutôt à l’action du Démon, passons maintenant en examen ceux qui, dans le comble d’une effronterie sans limites, ont transformé des crises épileptiques en extases sanctifiées.

Sainte Marguerite Marie Alacoque, après avoir fait voeu de chasteté à l'age de quatre ans et après être entrée au couvent à huit, commence à avoir les premiers contacts extatiques avec Jésus, « son fiancé », à quinze ans.
De sa biographie :

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Au moins les femmes musulmanes se réservent pour celui qui sera l'homme de leurs vies et le père de leurs enfants ..... tandis que nos canadiennes et les américaines font dures et récoltent la tempête de leurs mœurs libertins

Les hommes préfèrent les vierges et non les putes
mais ...........
ils sont coincés entre se choisir une femme musulmane car ils seraient obligés de se convertir à l'Islam et il n'est pas question qu'on fasse cela..... et aussi entre les femmes américaines libertines...... alors ils se tournent vers les plus jeunes femmes en espérant que leurs parent leurs aient enseignés de réserver pour un homme ...... et sans pour cela être zélées dans une religion

1 « Quand j’étais face à Jésus je me consommais comme une bougie au contact amoureux que j’avais avec lui ».

2 « J’étais d’une nature si délicate que la moindre saleté me soulevait le coeur. Jésus me réprimanda si énergiquement pour ma faiblesse que je réagis contre elle avec une forte volonté : un jour je nettoyai avec ma langue le plancher sali par le vomissement d’une malade. J'éprouvai tant de délices lors de cette action que j’aurais souhaité avoir l’opportunité de pouvoir le faire tous les jours ». (Masochisme de délire hystérique)

3 « Une fois j’avais démontré une certaine répugnance au moment de servir une malade de dysenterie et Jésus me réprimanda si sévèrement que, afin de réparer, je me remplis la bouche des excréments de la malade ; je les aurais avalés si la Règle n’interdisait de manger hors des repas. » (Idem)

4 « Un jour que Jésus se posa sur moi de tout son poids, il répondit de cette façon à mes protestations : ‘’Laisse que je puisse user de toi selon mon plaisir car chaque chose doit être faite en son temps. Maintenant je veux que tu sois l’objet de mon amour, abandonnée à mes volontés, sans résistance de ta part, afin que je puisse jouir de toi.’’ ».
(Coït vécu physiquement par le moyen de l’imagination).

La répétition d’actes de masochisme alternés d'extases durant lesquelles Marie Alacoque vivait charnellement les accouplements avec Jésus, qu’elle appelait « mon fiancé », furent tellement fréquents qu’ils la rendent, d’après les psychologues, un classique cas d’érotomanie hystérique.

L’Église, profitant de la crédulité et de l’ignorance humaine, donna l’origine à l’apostolat du Sacré Coeur en se basant sur les affirmations d’une nymphomane dont les révélatrices extases ne sont rien d’autre que des crises cataleptiques provoquée par une dévastatrice répression sexuelle.

Et comme cela arrivait à d’autres saintes mystiques, la Madone apparaissait continuellement à Marguerite Alacoque.

5 « La sainte Vierge m’apparaissait souvent et me faisait des caresses inexplicables, tout en me promettant sa protection ».

Cette intromission de la Vierge Marie dans les rapports amoureux entre les saintes et Jésus trouve une justification dans leur besoin du consentement de la mère de celui qu’elles aimaient d’une façon clandestine - par leurs extases. La relation amoureuse, avec son caractère sexuel et donc coupable, leur donnait un complexe de culpabilité dont elles essayaient de se libérer, afin de pouvoir jouir pleinement des accouplements, non seulement en obtenant le consentement de la mère de leur amant mais aussi en le rendant public par grâce à leurs autobiographies. Ces biographies étaient leur catharsis, c’est-à-dire la libération d’un sentiment de culpabilité, qu'elles utiliseront comme une confession libératoire dans laquelle elles décrivent tous les détails de leurs orgasmes en en faisant ainsi de vrais traités de pornographie.

Sainte Marie de l’Incarnation, après avoir sollicité Jésus, son époux, à s’unir à elle par des paroles qui ont vraiment très peu de spiritualité : « Alors, mon amant adoré, quand est-ce que nous ferons cet accouplement ? », ainsi raconte-t-elle dans sa biographie ce qu’elle éprouvait dans l’hystérie de ses extases « Lors des ravissements il me semblait avoir, à l’intérieur de moi, des bras que je tendais pour embrasser celui que je désirais tant ».


Sainte Guyon, ascète et pénitente, écrit que lors d’une extase Jésus l’avait portée dans un bois de cèdres où il y avait une chambre avec deux lits et, lui ayant demandé pour qui était le deuxième lit, il lui avait répondu : « L’un est pour toi, qui est mon épouse, et l’autre est pour ma mère », et se référant ensuite aux plaisirs sexuels qu’elle atteignait lors des extases, elle écrit encore dans son livre : « J’arrivais à posséder Jésus non pas de la façon que l’on entend "spirituelle" ou par la pensée, mais de façon si tangible que je sentais rééellement la participation physique de mon corps ».


Quand ensuite elle retournait à la normalité, si l’on peut dire, en retenant ce corps responsable de ses péchés, elle s’acharnait contre lui en s’infligeant les sévices les plus atroces : « Pour mortifier mon corps je léchais les crachats les plus dégoûtants […] Je mettais des petites pierres dans les chaussures […] Je me faisais enlever des dents même si elles étaient saines […] »

De la biographie de Sainte Angèle de Foligno : «Durant les extases c’était comme si j’étais possédée par un instrument qui me pénétrait et se retirait en me déchirant la chair…J’étais remplie d’amour et rassasiée d’une plénitude inestimable […] Mes membres se brisaient et se cassaient de désir alors que je languissais, languissais, languissais […] Ensuite, lorsque je revenais de ces ravissements d’amour, je me sentais si légère et satisfaite que j’aimais bien tout le monde, même les démons […] ». (Très belle description de la tranquillité des sens qui suit l’orgasme !).

Sainte Angèle de Foligno était tellement consciente que les plaisirs qu’elle éprouvait durant l’extase étaient de nature sexuelle qu’elle-même déclare être la victime d’un «Vice que je n’ose pas nommer », un vice de concupiscence duquel elle essayait de se libérer en mettant « Des charbons ardents sur le vagin pour éteindre les ardeurs ».

Sainte Rose de Lima, afin de pouvoir vivre les plaisirs sexuels le plus librement possible de tout sens de culpabilité, comme si le fait de subir sa peine au préalable pouvait l’autoriser à commettre le délit, punissait son corps avant les extases par des sévices qui font frissonner : « Malgré le fait que le confesseur l’exhortait à ne pas exagérer, elle réussit à se donner cinq mille coups de fouet en quatre jours … »

Sainte Jeanne des Anges, ce fut elle qui, en tant que supérieure d’un couvent des Ursulines, transmit l’hystérie à toute la communauté avec ses extases répétées.

D’une chronique de ce temps-là : « Toutes les religieuses du couvent des Ursulines de Loudun, où était supérieure Mère Jeanne des Anges, se mirent à hurler, à baver, à se dévêtir en s'exhibant dans une complète nudité ».

Un certain Robbyns, chroniqueur de cette époque, présent lors d’une de ces crises collectives, dans la description qu’il effectua des faits, s’arrête sur un détail : « Soeur Clara tomba au sol et dans un état de transe absolu continua à se masturber en criant : « Baisez-moi, baisez-moi… !! », jusqu’au moment où, ayant pris un crucifix, elle l’utilisa d’une façon que ma pudeur m’empêche de raconter ».

Détail

Chargé par l’évêché de pratiquer les exorcismes dans le couvent, un certain père confesseur nommé Surin, fut lui aussi très vite impliqué dans ces orgies. Il écrivit : « Ma langue dégustait Dieu comme lorsque je bois le vin muscat ou que je mange des abricots ». (Je ne crois pas qu’il faille des explications pour comprendre où celui-ci cherchait Dieu avec la langue !)

Père Surin fut remplacé par un autre prêtre exorciste appelé Ressés, lequel, résistant à toute tentation, réussit à libérer le couvent des démons. Comme preuve de l’exorcisme réussi, on prit l’interruption de grossesse de la même Jeanne des Anges, dont il prétendit l’avoir fait avorter en la libérant du démon avec de l’eau bénie.

Étant donné qu’elle affirma avoir été guérie par Saint Joseph qui lui était apparu pendant l’exorcisme, l’Église, prenant la balle au bond, réussit à transformer les orgies sexuelles du monastère de Loudun en manifestations édifiantes et en criant au miracle. Les bandelettes et les chiffons utilisés par Jeanne des Anges pour se soigner des blessures produites par les flagellations, transformés en objets bénis, furent utilisés pour soigner les malades qui commencèrent à affluer au couvent en pèlerinages organisés.

Considérée désormais une Sainte guérisseuse, Jeanne des Anges commença à parcourir la France pour guérir les infirmes et la renommée qu’elle obtint fut si grande que le Cardinal Richelieu lui-même l’invita afin de se faire soulager des fortes douleurs que lui provoquaient ses hémorroïdes. Dans une chronique de l’époque on affirme que parmi les nombreuses personnalités qui reçurent un avantage de cette Sainte Jeanne des Anges, il y eut aussi Anne d’Autriche qui, souffrant à cause d’un accouchement compliqué, se sentit soulagée en touchant un morceau de sa chemise. C’est ainsi que, en utilisant l’art de la mystification dont elle est maîtresse, l’Église réussit encore une fois à tirer l’eau de son moulin en transformant en sainteté une hystérie produite par la répression sexuelle.

Sainte Thérèse d’Avila est certainement l’une des plus représentatives de ce monde de nymphomanes réprimées qui remplissent le paradis des chrétiens. Elle pourrait représenter un exemple classique et devrait être citée dans les livres de sexologie pour démontrer les dégâts cérébraux que peut produire l’abstinence sexuelle.

De son autobiographie : « Mon mal était arrivé à un tel degré de gravité que j’étais toujours sur le point de m’évanouir. Je sentais un feu intérieur qui me brûlait … Ma langue était en lambeaux à force de la mordre ».

« Alors que le Christ me parlait, moi je contemplais la beauté extraordinaire de son humanité… J’éprouvais un plaisir si fort qu’il est impossible de pouvoir en éprouver de semblables en d’autres moments de la vie… »

« Durant les extases le corps perd tout mouvement, la respiration s’affaiblit, on émet seulement des soupirs et le plaisir arrive à intervalles…» (Parfaite description de l’orgasme!)

Santa Teresa de Avila
Extase de Ste Thérèse
L'ange s'apprête à pénétrer ses entrailles avec son dard (G.L. Bernini)

« Lors d’une extase m’apparut un ange tangible dans sa constitution charnelle et il était très beau; je voyais dans la main de cet ange un long dard ; il était en or et portait une pointe de feu à l’extrémité. L’ange me pénétra avec le dard jusqu’aux entrailles et quand il le retira, il me laissa toute brûlante d’amour pour Dieu …»

« La douleur de la blessure produite par le dard était tellement vive qu’elle m’arrachait de faibles soupirs, mais cet indicible martyr qui me faisait en même temps goûter les délices les plus suaves, n’était pas de souffrances corporelles même si le corps tout entier y participait […] »

« J’étais en proie à une confusion intérieure qui me faisait vivre en une continuelle excitation au point que je n’osais l'interrompre pour demander de l’eau bénite, afin de ne pas troubler les autres religieuses qui auraient pu en comprendre l’origine …» (Évident sens de culpabilité).

« Notre Seigneur, mon époux, me procurait de tels excès de plaisir que je m’imposai de ne rien ajouter d’autre sinon de dire que tous mes sens étaient ravis … » (idem)

Ces extraits tirés des autobiographies de femmes portées à la folie par la répression sexuelle, que l’Église a converties en exemples édifiants, ne sont en réalité que la démonstration la plus évidente de la fausseté de la morale chrétienne.

L’être humain a besoin de sexe de même qu'il a besoin de nourriture. L’abstinence prolongée, comme la faim, génère des troubles mentaux qui portent l’homme vers des comportements souvent dangereux pour soi et pour les autres. Beaucoup des vices et des perversions qui se vérifient dans la société sont déterminés par des tabous qui empêchent le déroulement normal des lois naturelles. La Nature lorsqu’elle est contrariée, fera tôt ou tard valoir ses droits et d’une façon d’autant plus violente qu'implacable fut la répression qui effectuée contre elle.

Dans une société où le sexe est considéré comme un besoin physiologique et non pas comme une source de vices et de péché, toutes les perversions seraient réduites à néant - comme les violences physiques et les homicides à caractère sexuel - qui sont souvent engendrés par une haine envers la femme. Cette femme vue par l’homme comme responsable de leurs angoisse dérivées de la répression. Le sexe, qui dans une société dépourvue de tabous pourrait être motif de détente et de concorde, devient ainsi, dans un monde basé sur la frustration, motif de chantages, de haine et de rancunes.

Quel est celui qui durant l’agonie, se souvenant des souffrances endurées pendant la vie par la répression, n’est pas porté à maudire ce qui en fut la cause ?

Repoussons, donc, alors que nous sommes encore à temps, tous ceux qui nous empêchent de profiter (toujours en respectant la liberté d'autrui) librement et complètement des joies du sexe, en nous souvenant que toutes les occasions laissées, en plus que de procurer l’inévitable regret qui tôt ou tard se présentera, par le simple fait de les avoir perdues, représentent un retard dans la réalisation des expériences dont nous avons besoin pour nous connaître et nous améliorer.

Le fait de croire que la renonciation aux plaisirs de la chair nous rend dignes de récompenses après la mort n’est qu’une des nombreuses absurdités soutenues par le Christianisme pour imposer, par le plagiat, un impérialisme basé sur une fausse morale.

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Lesbisme dans les couvents

Le pourcentage de lesbiennes dans les couvents, bien que ce soit un fait auquel je ne me suis jamais intéressé, est supérieur à celui du monde laïque puisque ceux-ci, en plus de donner aux femmes gay la possibilité de fuir le mariage, leur offrent la possibilité de vivre dans un monde exclusivement féminin. Bien que l’Eglise, consciente de ce fait, essaie d’imposer des règles particulièrement sévères afin d’éviter tout contact physique entre les sœurs, les relations lesbiennes font partie intégrante de la vie du couvent.

Une preuve, s'il en était besoin, de ce que j’affirme nous vient du nombre croissant de religieuses gay qui laissent le couvent depuis qu'a commencé cette libération sexuelle qui permet les accouplements dans la vie laïque. Il suffit de lire les livres qui traitent ce thème comme « À L’INTÉRIEUR DU COUVENT » de deux ex-sœurs, Nancy Manahan et Rosemary Curb, où cinquante religieuses confessent leur vie sexuelle. Ce livre dont la lecture est rigoureusement réservée aux adultes, permet une autre approche de l’immoralité de la religion chrétienne qui réussit encore à s’imposer avec le plagiat de son obscurantisme.

Extraits du livre « A L’INTÉRIEUR DU COUVENT » (Tullio Pironti Editore), tirés de deux interviews faites à deux ex-sœurs, Kewyn Lutton et Rosemary Curb:

Et homo factus est

Première interview :
D : De quoi te souviens-tu à propos de ta sexualité ?
K : Je me souviens de m’être masturbée la première fois à dix ans.
D : Quand as-tu pensé de devenir religieuse ?
K : Lors de la troisième année de lycée je me convainquis que je voulais entrer au couvent pour vivre aux cotés d’autres femmes, éloignée des hommes. J’aurais résolu tout problème.
D : Étais-tu au courant des autres rapports sexuels qui avaient lieu au couvent ?
K : Non, mais j’eus certains doutes. Il y avait une enseignante qui me plaisait beaucoup. Une nuit je me sentais déprimée et seule … il était tard. elle vint dans ma cellule, nous nous embrassions en nous roulant sur le lit.

Deuxième interview, où Rosemary Curb parle dans le bureau de Ginny Apuzzo, directrice exécutive de la National Gay Task Force :
« Ma vie au couvent fut douloureuse mais productive. Je ne réussirais pas à travailler pour les Gay si je n’avais pas appris à me concentrer. Moi j’appelle ça ma grâce. Mes discours publics n’ont pas d’élégance, et pourtant chaque fois que je me lève face au public un charisme bizarre se libère en demandant de nous unir et de lutter ensemble pour une vie meilleure.
Celle-ci est la vraie grâce. Ce n’est pas Dieu, ce n’est pas Marie et ce n’est pas même moi. C’est le pouvoir de la masse et sa volonté de transformation. La fierté des gay ne doit pas se transformer en la honte des gay. Quand nous demandons la suppression de toute forme de phobie contre les lesbo et les gay, nous portons avec nous un coup de vent d’air frais. »

Ce livre est la démonstration de combien lesbo, gay, masturbation et sexe font partie du quotidien des couvents.

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